VEF Blog

Surveiller la venue de vos cheveux blancs ...oups ...

Pour ma part cette étude me laisse perplexe mais bon ...

voici ce que le média raconte...

 ( j'ai mis le lien en bas de l'article , en espérant qu'il vous amène à la source de l'article , car c'est une news letters que je reçois dans mon e-mail)... Cela me laisse malgré tout perplexe car bon quand on sait le nombres de personnes qui meurent encore du cancer ... Que ce soit dans les jeunes ou les plus vieux .

 Vos cheveux blancs pourraient révéler que votre corps se protège contre le cancer
Longtemps considérés comme un simple signe de vieillissement, les cheveux blancs pourraient en réalité témoigner d'un mécanisme de défense contre le mélanome.

Et si la chevelure qui grisonne avec les années en disait bien plus qu'un simple vieillissement ? Une équipe de scientifiques japonais vient révéler les résultats de leur étude à ce sujet. Le blanchiment capillaire pourrait traduire un véritable réflexe de défense contre l'un des cancers cutanés les plus redoutés. Leurs travaux, conduits à l'Université médicale et dentaire de Tokyo et publiés dans Nature Cell Biology, dévoilent un lien biologique inattendu entre la dépigmentation progressive et le risque de mélanome.

Les chercheurs se sont penchés sur le comportement des cellules souches responsables de la coloration de la peau et des cheveux. Soumises à des facteurs agressifs, comme le rayonnement ultraviolet, les produits chimiques ou les altérations de l'ADN, ces cellules adoptent deux stratégies opposées.

Les expériences, réalisées sur des souris, éclairent ainsi un dilemme cellulaire fondamental : s'effacer pour protéger l'organisme ou survivre au risque de dériver. Pour la biologiste qui a dirigé les travaux, ces deux issues ne doivent plus être envisagées comme indépendantes. Elles sont le résultat d'une même réaction au stress cellulaire. Le cheveu gris est quelque part le signe d'un sacrifice silencieux, celui de cellules qui choisissent de disparaître pour éviter la propagation de mutations dangereuses !

Comprendre ce mécanisme ouvre de nouvelles perspectives : si l'on parvient à encourager l'élimination précoce des cellules défaillantes, il serait peut-être possible de réduire le risque de transformation cancéreuse.