La violence faite aux femmes comprend diverses formes d'actes de violence, qui peuvent être physiques, verbales, psychologiques, sexuelles, économiques, administratives, ou encore des cyber-violences. Elle englobe la menace, la contrainte et la privation de liberté, et est une manifestation de rapports de pouvoir inégal entre les hommes et les femmes.
Formes de violence
Physique : coups, bousculades, strangulations, morsures, brûlures, séquestrations.
Verbale : injures, menaces, intimidations, dévalorisations, insultes.
Psychologique : humiliations, chantage affectif, contrôle des relations sociales, dénigrement constant.
Sexuelle : agressions sexuelles, viols, relations imposées, prostitution forcée, partage de photos intimes sans consentement.
Économique : contrôle des dépenses, interdiction de travailler, privation de revenus ou de moyens de paiement, destruction d'objets.
Administrative : confiscation ou chantage autour des documents d'identité, du livret de famille, du carnet de santé, du titre de séjour.
Cyber-violences : cyber-harcèlement, surveillance via des outils numériques, piratage de comptes, diffusion d'informations privées ou de contenus intimes en ligne.
Violences liées à la parentalité : contrôle de la contraception, IVG forcée, utilisation des enfants comme moyen de pression.
Autres manifestations et contextes
Violences dans des contextes spécifiques : La violence peut aussi se manifester lors de conflits (ex. : violences commises par des forces de l'ordre) ou être exacerbée par des facteurs comme le changement climatique, qui entraîne des déplacements et une aggravation de la pauvreté.
Violences traditionnelles : Certains actes, tels que les mutilations génitales féminines, les mariages forcés ou les "crimes d'honneur", sont des formes de violence spécifiques, souvent tolérées ou pratiquées dans des contextes traditionnels.
Conséquences : Les violences peuvent avoir des conséquences graves sur la santé physique et mentale des femmes, entraînant des traumatismes, de l'anxiété, de la dépression, et d'autres troubles
Bonne journée à tous ceux et celles qui passent par mon blog .
Certes parfois , il y a des jours où moi même je ne sois pas très présente sur les vôtres , mais parfois c'est le manque de motivation.
Les soucis de la vie quotidienne font que l'on a envie de rien .
Trouver un sujet intéressant n'est pas chose évidente et captiver l'attention n'est pas chose facile .
Certes je pourrais vous poster des faits d'actualités d'un site ou l'autre mais bon cela tout internet vous le fournit aisément .
Je vous souhaite juste de vivre chaque moment intensément .
Prenez du plaisir dans ce que vous faîtes surtout , ne prenez pas votre venue sur internet , sur un blog , comme une obligation.
Voilà pas grand chose à dire , à part les faits d'actualités pas très rassurant. Que les fêtes de fin d'années ce sera déjà le mois prochain et que pour ma part , je ne ferais pas de grandes folies .
Déjà , je sais comme beaucoup d'autres années précédentes , que je ne recevrais pas de cadeaux , je pense que la tradition c'est perdue depuis longtemps . Certes si j'étais plus aisée financièrement , je le ferais mais bon ... La situation est devenue plus que difficile .
Nous avons je penses tous et toutes , nos problèmes et donc je n'en dirais pas plus .
Certes le repas de Noël , mon mari et moi ainsi que ma fille et peut-être une amie de ma fille cela se fera à la maison avec repas-menu traiteur bon marché , on se débrouillera quoi ...
Mais les cadeaux sous le sapin , on n'y compte pas .
Je trouve ,même et de plus en plus les fêtes tristounettes .
Voilà gros bisous à tous et toutes .
Baladine le 26-11-2025 à 16:46:09 # (site)
Bonjour
Peut être tristounette ton billet du jour
Seulement c est une lucide réalité
De même nous ne serons que 4 et je ferai
un repas maison avec mes moyens du moment
Il y a la neuvaine de l immaculé Conception
croyant ou pas , elle peut nous aider
Je te dis bonne fin d apres midi en ce jour Amitiés
BlueMayDragonButterfly le 26-11-2025 à 12:46:26 # (site)
Re Christiane ^^
Oh j'allume des neuvaines aussi...Parfois...J'en ai ^^
çà nous arrive à tous de ne pas être inspiré ou autre pour écrire...çà dépend des jours ^^
Bisous bisous et belle fin de journée à toi ^^

Ne sachant pas si demain je serais d'humeurou apte de venir sur vefblog .Je tenais à vous offrir mon sourireet une bonne boisson chaudepour commencer votre journée .Cette publication je la rédige ce mercredi soir ,car déjà que je n'ai pas trop la forme ,demain est certe un autre jour mais bon ....Au cas où je ne me connecterai pasdans la matinée ou dans la journée ,je vous souhaite de vivre un excellente jeudi .On ne peut pas dire que les douleurs articulairess'arrangent ...l'arthrose ou alors un virus , je n'en sais rien ,mais j'ai mal dans mes omoplates commesi j'avais reçu des coups de bâtons .Bon sur cela , gardons malgré tout le sourireet l'espoir que cela ira mieux demain matin .
Demain c'est un autre jouralors autant le chanter .ICI
lionel71300 le 27-11-2025 à 07:59:37 # (site)
peut etre a demain bisou tres bonne journee christiane
BlueMayDragonButterfly le 27-11-2025 à 05:41:59 # (site)
Bonjour Christiane ^^
Belle journée en ce jeudi avec le sourire ^^
J'espère que çà ira....
Bisous bisous et prends bien soin de toi ^^

Oui c'est bizarre ... vous avez dit bizarre ?
Comme c'est bizarre ...
Et bien oui , me voici pas aussi vaillante que ce petit animal bizarre
mais quand même là .
Toujours avec mes maux de dos , mais bon je ne me laisse pas rouiller malgré tout .
Rester en mouvement surtout , au matin dès le réveil repassage de linge , petit déjeuné , prendre mes médicaments habituels et aussi et surtout un anti-douleur pour soulager légèrement ces douleurs du dos .
Bon me voici à gesticuler parmis vous en vous laissant ci et là un petit commentaire et aussi pour vous remettre mon bonjour quotidien .
Bonne journée à tous et toutes , nous arrivons doucement vers fin novembre , suivra ensuite le mois de fête de fin d'année.
Joyeux pour certain(e)s d'entre vous et moins pour d'autres .
Prenez bien soin de vous et vivez vos journées à votre rythme surtout
On ne vit qu'une fois , alors autant de vivre selon nos besoins
voltaire le 28-11-2025 à 10:04:59 # (site)
Bonjour Christiane jolie tes photos qui sont vraiment une surprise
oui c'est bizarre comme c'est bizarre
j'ais bien entendu comme dans le film Louis Jouvet
passe un bon vendredi bisous
justelenoir le 28-11-2025 à 09:58:39 # (site)
Bonjour,
c'est mimi tout ça
merci de nous offrir cela
oui il faut se faire de la gym a son rythme
pour garder la carcasse en forme
LOL
.
.
.
Encore bien occupé
Cette semaine j'ai été
Je n'ai pas commenté beaucoup
Sur les blogs et pas venu du tout
Je passe donc en ce vendredi
Un beau weekend vous souhaiter les amis
Florence-marquise le 28-11-2025 à 07:59:56 # (site)
Bonjour ma douce Christiane,
Trop mimis ce chat et ce petit oiseau !
Pas drôle les douleurs ! Depuis plusieurs années j'ai de l'arthrose au dos, aux genoux et aux cervicales.
Dès aujourd'hui et jusqu'à dimanche il y a le marché de Noël dans notre commune, on ira y faire un tour. Tout est installé depuis plusieurs jours. A Nevers aussi ils ont installé les décorations et illuminations dans les rues, les magasins, le grand parc, etc... c'est beau. Il y aura beaucoup de monde comme chaque année.
Passe une bonne journée et un agréable week-end, gros bisous.
Florence


lionel71300 le 28-11-2025 à 07:57:26 # (site)
bizarre bizarre bisous tres bon week end christiane
BlueMayDragonButterfly le 28-11-2025 à 05:22:25 # (site)
Bonjour Christiane ^^
Belle journée en ce vendredi ^^
Bisous et prends bien soin de toi ^^
edenlavande84 le 27-11-2025 à 18:11:13 # (site)
merci pour ces belles images
surtout la 1 , tres rigolote
bisous
BlueMayDragonButterfly le 27-11-2025 à 12:23:08 # (site)
Oh toute mignonnes tes images ^^
Pleins de pensées ^^
Bisous bisous ^^
Lady-Dark-Pandemonium le 27-11-2025 à 10:22:26 # (site)
Cc Christiane
oui il ne faut rester léthargique
le mal de dos je connais sous morphine
quand je supporte plus la douleur
on as beau dire mais oui il faut bouger
jolies tes illustrations j'aime beaucoup
je te souhaite de passer
une belle journée de en ce jeudi
Prends soin de toi
Bisous
La petite fille m'a demandé si je pouvais être son papa jusqu'à ce qu'elle meure, mais j'ai refusé pour une seule raison. Ce furent ses mots exacts. Sept ans, assise dans un lit d'hôpital , et elle m'a regardé-moi, un parfait inconnu, un biker à l'air effrayant-et m'a demandé si je voulais bien faire semblant d'être son père pour le temps qu'il lui restait.
Je m'appelle Mike. J'ai 58 ans. Je suis motard, avec des tatouages sur les deux bras, une barbe qui descend jusqu'à ma poitrine, et je roule avec le Defenders Motorcycle Club.
Je fais du bénévolat tous les jeudis à l'Hôpital des Enfants pour lire des histoires aux petits malades. C'est quelque chose que notre club a commencé il y a quinze ans, quand la petite-fille d'un de nos frères a passé des mois en oncologie pédiatrique.
La plupart des enfants ont peur de moi au début. Je comprends. Je suis grand, bruyant, et j'ai l'air d'un type qui sort d'un film de motards, pas d'un hôpital pour enfants. Mais dès que je commence à lire, ils oublient mon apparence. Ils n'entendent plus que l'histoire.
C'est ce que je pensais qui arriverait avec Amara.
Je suis entré dans la chambre 432 un jeudi après-midi de mars. L'infirmière m'avait prévenu : une nouvelle patiente. Sept ans. Neuroblastome stade quatre. Aucun membre de la famille n'était venu la voir depuis les trois semaines où elle avait été admise.
« Aucun membre de la famille ? » ai-je demandé.
Le visage de l'infirmière s'est crispé. « Sa mère l'a abandonnée ici. Elle l'a déposée pour le traitement et n'est jamais revenue. On essaie de la joindre depuis des semaines. Les services sociaux sont impliqués mais Amara n'a aucune autre famille. Elle ira en famille d'accueil dès qu'elle sera assez stable pour sortir. »
« Et si elle n'est pas stable ? »
L'infirmière a détourné le regard. « Alors... elle mourra ici. Seule. »
Je suis resté une minute entière devant la porte avant de pouvoir entrer. J'ai déjà lu à des enfants mourants. Ça ne devient jamais plus facile. Mais un enfant mourant complètement seul ? C'était un nouveau genre d'enfer.
J'ai frappé doucement et ouvert la porte. « Salut, je m'appelle Mike. Je suis là pour te lire une histoire, si tu veux. »
La petite fille dans le lit a tourné la tête vers moi. Elle avait les plus grands yeux bruns que j'aie jamais vus. Ses cheveux avaient disparu avec la chimio. Sa peau avait cette teinte grisâtre qui signifie que le corps se bat. Mais elle a souri en me voyant.
« T'es vraiment grand », dit-elle d'une voix faible et rauque.
« Oui, on me le dit souvent. » J'ai levé le livre que j'avais apporté. « J'ai une histoire sur une girafe qui apprend à danser. Tu veux l'entendre ? »
Elle a hoché la tête. Alors je me suis assis et j'ai commencé à lire.
J'étais à la moitié du livre lorsqu'elle m'a interrompu : « Monsieur Mike ? »
« Oui, ma puce ? »
« Vous avez des enfants ? »
La question m'a frappé en plein cœur. « J'avais une fille. Elle est morte à seize ans. Accident de voiture. Ça fait vingt ans maintenant. »
Amara est restée silencieuse un instant. Puis elle a demandé : « Elle vous manque d'être un papa ? »
Ma gorge s'est serrée. « Chaque jour, ma chérie. »
« Mon papa est parti avant ma naissance », dit-elle simplement. « Et ma maman m'a amenée ici et n'est jamais revenue. Les infirmières disent qu'elle reviendra jamais. »
Je ne savais pas quoi répondre. Que peut-on dire à une enfant de sept ans abandonnée en pleine agonie ?
Amara a continué : « La dame de l'aide sociale a dit que je vais aller chez une famille d'accueil quand j'irai mieux. Mais j'ai entendu les médecins. Ils pensent pas que je vais mieux. »
« Chérie... »
« C'est d'accord », dit-elle. Sa voix était si calme. Trop calme pour une enfant. « Je sais que je vais mourir. Tout le monde pense que je comprends pas mais si. J'ai entendu qu'ils disaient que le cancer est partout. Ils ont dit peut-être six mois. Peut-être moins. »
J'ai posé le livre. « Amara, je suis tellement désolé. »
Elle m'a regardé avec ses grands yeux. « Monsieur Mike, je peux vous demander quelque chose ? »
« Tout ce que tu veux. »
« Vous voulez bien être mon papa... jusqu'à ce que je meure ? »
Le silence a envahi la pièce. Même les moniteurs semblaient s'être arrêtés. Je sentais mes cinquante-huit ans peser sur mes épaules comme du plomb.
Je voulais dire oui. Bon Dieu, je voulais dire oui tellement fort que mes os en faisaient mal. Mais j'étais juste un vieux biker cabossé qui venait une fois par semaine avec des livres d'images. Je buvais trop, je criais encore certains soirs en appelant le nom de ma fille morte dans une maison vide. Qu'est-ce que je savais encore du rôle de père, même pour un petit moment ?
J'ai avalé la pierre coincée dans ma gorge. « Chérie... j'en serais honoré. Mais je dois être honnête : je suis peut-être plus très bon comme papa. Je pourrais rater des choses. »
Son visage entier s'est éclairé comme un lever de soleil. « C'est pas grave. Vous pourrez vous entraîner avec moi. »
Et juste comme ça, j'avais une fille de nouveau.
Les infirmières ont pleuré quand je leur ai dit. L'assistante sociale a pleuré encore plus quand j'ai demandé la garde temporaire, l'autorité médicale, tout ce qui me permettrait de la ramener à la maison si elle devenait assez forte, ou de rester à son chevet chaque jour si ce n'était pas le cas. Le club est venu en force-vingt-cinq Harley grondant sur le parking de l'hôpital, faisant paniquer la sécurité jusqu'à ce qu'ils voient les peluches attachées à chaque moto.
On a transformé la chambre 432 en un endroit qui ne ressemblait plus à une chambre d'hôpital. Un des gars a apporté une parure de lit rose. Un autre, un petit gilet en cuir avec "Daddy's Girl" brodé dans le dos. Quelqu'un a accroché des guirlandes lumineuses. Quelqu'un d'autre a fait entrer un chiot (pas autorisé du tout, mais seulement dix minutes-Amara en a ri si fort qu'elle a dû remettre son oxygène).
Le jeudi est devenu tous les jours. Je lui ai lu le livre de la girafe jusqu'à ce qu'on le connaisse par cœur. Puis Charlotte's Web. Puis Harry Potter. Quand ses mains sont devenues trop faibles pour tenir le livre, j'ai tenu le livre pour nous deux. Quand la douleur devenait trop forte, je me couchais dans son lit minuscule et je la laissais s'endormir sur ma poitrine pendant que je fredonnais du Johnny Cash, comme avec ma propre fille autrefois.
Les médecins n'arrêtaient pas de secouer la tête. Ils n'arrivaient pas à comprendre. Les scanners n'étaient pas vraiment meilleurs-mais pas pires non plus. Six mois sont devenus neuf. Neuf sont devenus douze.
Le matin de ses huit ans, Amara s'est réveillée et m'a dit : « Papa, j'ai rêvé que je courais. Mes jambes marchaient et tout. »
Je l'ai embrassée sur la tête. « Alors on va rendre ça vrai, bébé. »
Deux semaines plus tard, l'oncologue m'a convoqué, les yeux écarquillés. « Les tumeurs dans sa colonne... elles rétrécissent. Je n'ai jamais- » Il s'est arrêté. « Nous constatons une régression significative. Je n'ai pas d'explication. »
Moi, j'en avais une. L'amour. L'amour simple, têtu, bruyant, tatoué.
Dix-huit mois après le jour où elle m'a demandé d'être son papa "jusqu'à ce qu'elle meure", Amara a quitté l'hôpital sur ses deux jambes, tenant ma main, son petit gilet en cuir sur le dos, et un sourire plus grand que le ciel.
Le club lui a organisé une fête de retour qui a secoué tout le quartier. Il y avait des poneys. Un château gonflable. Un gâteau de la taille d'une roue de Harley. Et quand le soleil s'est couché et que le feu crépitait, Amara s'est installée sur mes genoux, a regardé les étoiles et a murmuré : « Papa ? »
« Oui, bébé ? »
« Je crois que je vais pas mourir avant très longtemps. »
Je l'ai serrée contre moi, assez fort pour sentir nos deux cœurs. « Bien », ai-je dit, la voix cassée comme celle d'un vieux. « Parce que je viens juste de commencer à être ton père. »
Elle a quinze ans maintenant. Toujours en rémission. Toujours en train de m'appeler Papa chaque jour. Toujours endormie dans les mêmes draps roses de la chambre 432.
Et tous les jeudis, qu'il pleuve ou qu'il vente, on retourne à l'Hôpital des Enfants-moi sur ma Harley, elle derrière moi, accrochée comme si elle avait fait ça toute sa vie-et on lit des histoires aux nouveaux enfants qui ont peur et qui souffrent.
Parce que certaines choses valent plus que les années qu'on a.
Certaines choses sont éternelles.
« L'amour peut guérir. Partagez cette histoire d'espoir et de résilience avec quelqu'un qui en a besoin. »
Commentaires
Baladine le 26-11-2025 à 09:54:05 # (site)
Bonjour
Une journée de plus qui nous marque
les hommes aussi en sont victimes
tout dépends de l ambiance familiale
Je te dis bonne journée en ce mercredi
Florence-marquise le 26-11-2025 à 07:41:08 # (site)
Bonjour ma douce Christiane,
La violence sur les femmes ne devrait pas exister, comme tant d'autres choses d'ailleurs ! On vit dans un monde imparfait, hélas.
Passe une bonne journée, gros bisous.
Florence
BlueMayDragonButterfly le 26-11-2025 à 04:56:07 # (site)
Bonjour jolie Christiane...
Je ne savais pas pour hier....Qu'il y avait cette journée...En même temps, on ne peut pas tout savoir.
Je suis contre la violence en tout genre.
Bonne journée en ce mercredi ^^
Bisous et prends bien soin de toi ^^